La pleine lune en
Scorpion ouvre la porte à tous les excès. Elle se manifestera le 16 mai. Alors,
pourquoi ne pas en profiter pour révéler un ou deux travers sur la manière de
gouverner de nos dirigeants.
Il n’y pas qu’en Ukraine
que des clowns gouvernent et font leur cinéma pour récupérer des kopecks. En
France, et sans doute dans de nombreux autres pays du monde, des cerveaux ou
plutôt des cervelets, sont au service de l’état pour ponctionner financièrement,
mine de rien, les contribuables. L’une de leurs trouvailles et pas la moindre,
remonte au 16e siècle.
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| L'incurable pouvoir de l'argent |
Comment se jouer des contribuables ?
Tout simplement en
faisant miroiter à la population des gains exceptionnels via des jeux d’argent.
Vous n’y croyez pas ? Lisez cela !
La loterie est un impôt
d’état, astucieux et invisible, qui permet à nos gouvernants de prélever la
moitié des sommes engagées en restituant généreusement l’autre moitié. Elle a
été introduite en France, sous François 1er et s’inspirait d’un
modèle créé à Florence, en 1530.
Ainsi quand l’état (FDJ) offre
13 millions d’euros, cela signifie qu’il y a eu 26 millions de tickets achetés.
L’état récupère donc la moitié des sommes jouées, soit 13 millions moins ses
frais.
Et ça dure depuis de
nombreuses décennies. Il suffit de faire croire aux joueurs qu’ils vont gagner
beaucoup d’argent. En réalité, c’est l’état le grand gagnant. Eh, oui, c’est
comme ça.
Le nouveau
gavage des villes ?
Aujourd’hui, les
cervelets ont trouvé de nouvelles astuces pour piquer notre flouze durement économisé
au fil des années en ciblant « nos véhicules ». Ainsi, il pleut des
prunes à la pelle dans la majorité des localités de notre belle France.
Voici un slogan inventé
pour l’heure qui résume cette nouvelle politique de prélèvements de
nos chers deniers par les institutions.
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| Un nouveau slogan pour nous. Merci l'Etat! |
Vous l’aurez compris, en France, nos politiciens se croient très malins et nous entubent en beauté et légalement, grâce aux mille et unes idées ingénieuses et facétieuses des cervelets au service de l’Etat. Dans quel monde, on vit !
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